8 g "3 3-2. tbSre^g^^gSre ^-5'3-g3 V LIB RAIRIE NAT10NALE ET tTRANGERE de S. VAN IlEYN S N O E C K. ^g.^8"pi° 93 s*c!r„ 5hoofdsteeg, l, 130. c:-?sc:^n33'„5 gs-gss "J: T: - C A T A L O G U S van ruim 350 diverse IIOLLANDSCHE en FRANSCHE KINDERWERKJ.ES is gratis verkrijgbaar bij II. NIJC.I1, Hoogscraac, bij dc Walsclie Kerk. pj 'oa w 30- n to c-n. O PUBLIEKE VEILING, op Maandag den 6 December 1841 des voormiddags ten half elf lire, in het ","5 8 S- Z,,' Logemenc het Curafaosche Jngta'an den Steiger te Rotterdam, van circa 105 Lasteu Kouingsberger LIJNZAAD, o h** "iro 3'o S n n rj*n> 3" 2 liggcnde op Zokiers. Ter bekoming der Monsters en liadere onderrigting vervoege men zich ten Kantore vat! KwH2.Bs|p£t"3S?o=t,,Sr3a MENSING DE KUTPERte Rotterdam. 3-Sg^l 5'e AVIS IMPORTANT, I'r-S 5 reo-g-^c^3 AUX PERSONNES SANS EMPLOI, QUI ONT L'AMOUR DU TRAVAIL, ET AUX CHEFS D'ETABLISSEMENS. N g"S.=:,3;2Q-re« 1 2o NOUS RECOMMAN DONS A NOS A 15 O N N E S LA MAI SON THEODORE. 3 3' J 3 3 S.£.cg'g-o 3 V ancienrte Maison THEODORE, itablie rue St. Ilonarl, 48, A Paris, continue toujours cle s'occuper avec succis ct S" q- 0=1 c j? W s. "o re rc* o 8* ^°1auti ^es writes et achats de propriMs, de fonds de commerce, titres clienteles, prets d' argent, rentes de marchandiscs ctS g g1" 2 ro o 3 3 S5- 3. on procure des actiotmaires pour tons pays, on se charge des criances difficiles sur Paris et de donner toute espice de 3 ag.L1i33g3:agg'Efti^. jj-cg renseignemens pour Paris, la FranceP lit ranger et mime les Colonies, et igalement du placement dans tous les pays, 3traSp5~3881038-§<3'"_8< des personnes des deux sixes et de toutes les conditions. Ss 8*£ 3 a 3 o g 3 Paris, centre de I'univers, source inipuisable de ressources, berceau des sciences et des arts, capitate du monde civllist, 2 8; re M t-,B Z, a_ N Paris enfince paradis terrestre, ou viennent s'engloutir tant de fortunes si bien fondies et d' autres s'ilever scandaleusement I? *?8" o g 3 g 2 g n vr par la cupiditiavec une faciliti et une prospiriti itonnantes, tiavail pas encore dans son sein un itablissement purement 2. 3 5 3 3..^: 3- 3 3'3 phylantropique, fondi pour I'avenir de la jeunesse et de la classe si nombreuse des employis.Cest done pour remplir Xj 3 K ^8 0.3 g.g E*"_rrq g cette lacune, que Mr. Tlidodbre a fondi un itablissement, ayant pour but d'eviter les icueilsqui menacent la jeunesse, et de privenir les malheurs qui accablent si souvent les jeunes gens sans expirience, qui quittent leurs parens et leurs Z 0 3 S f°yers sans riflexion, sans but dilerminipour aller chercher fortune dans un pays qu'ils ne connaissent pas, et qui, CI H, gg.°E^3c,8"^f6Q. aprits avoir ipuisi leurs dernihres ressources, se trouvent riduits a la plus aff,'reuse mi si re et poussis au disespoir. Le °-n> =,§5 2^ suicide vient souvent terminer une carri'erehcureuse encore, quand elle if est pas flitrie par le deshonneur. e.» C;5 a. EJ a-g to 3 Remidier A tant de maux est notre unique but, V objet de tous 110s veeux; itant secondis cotnme nous le sommes par Hj^S 3 aq Jo f, n 8^ ra 35 P. 3-o*2 fq toutes les personnes recommandables, nous sommes certains d'un succis couronni, nous procurons aux jeunes gens sages et - 3J=r£p laborieux un avenir heureUx et honnite, dans un ernploi hlcratif, sans qu^il soil nicessaire quails se dirangent n g 5"° 9-~" g aucunement avant de Pavoir obtenu. 3 "S=r" j o S Acs Ministres de la riligion les autoritis municipales, les pires de famille surtout, sentiront toute F importance et cgf!,303§9 3"25g B. j"' 3 ra toute Futiliti d'un tel itablissement, fondi sur des bases aussi louables et aussi considirables. Nous esptrons quails nous a g Sa, caw *S' 5 3 seconderont de tous leurs efforts. c:.§ 0" g-S" 3 3; 3 S ^1 La plupart des etnplois considirables exige un cautionnement que beaucoup de personnes ne peuvent fournir, ce qui ev. 7" 3 M »a"o!L3"3|>! leur fait souvent manquer de bonnes occasions. N administration a applani cet obstacle. De riches capitalistes, intiressis 3 o a S 1° o re - O ans notre itablissementfournissent aux jeunes gens qui justifient d'une bonne moralitipar un certificat, les 3"S"o.t7<roc^P''T3 cautionnemens nicessairesau taux ordinaire du commerce. n a r~. r~1 3§"e 0 Les personnes qui ne seraient pas resties un an dans Femploi qu'on leur aurait procuri, pour des motifs indipendants S n> Qn.3_e,tna_S'>uj n n> era" g de la moraliti ou des capacitis, seront placies de nouveau aux frais de F administration. ^.ro?o.= n'' "„3«;jP^.S^"rag. Les jeunes gens, que nous avons ili asscz heureux pour placer avantageusement, deviennent eux-mtmes nos agents; iT '*P re 3.'? n iS-S" o nous leur faisoni une remise proportionnie it F importance des cmplois qu'ils mettent It notre disposition. Par ce moyen 2 w" —"3 3' 3 g" t£S employis sont mutueUement intiressis au placement les utis deS autres. g npi .n g p Les relations itendues que le chef de cet itablissement s'est acquises en France et It Ff.tranger, le mettent It mime fc3£*rt>pt S c3' §- n 3 d'entreprendre toutes espices d'affaires, et de se rendre de plus en plus digne de la confiance de ses nombreux clients. 8 g g*2 S 3 cT 3.g" Un avocat, digne de confiance par son talent et ses mi rites, attachi A F administration, est chargi des affaires contcntieuses, 1U' ex>gent le concours de Fhomme de loi. Les capitaux inormes dont nous pouvons disposer, nous mettent A mime d'entre- 3 S. g T 3 g 3.' pi; 3d prendre, A no's risques et pirils, toutes les plus ipineuses, les plus chanceuses affaires, ccl/es mime qui exigent le plus de frais. 8* o 2 3 c n Lin agent capable attachi A F administrationest toujours pret A partir de suite pour F ft ranger, les Colonies g sf ta 3 ro g,J g 2- S FAmirique mime chargi d'affaires, dont 1'importance s'itend dans tous les pays. j}> S ^(•■0 S T5o< 2 g Acs personnes, qui nous honorcront de leur confiance par des demanded d'emplois, par I'entremise de Mr. Thdodore, is o aH ainsi que celles qui nous chargeront d'affaires, de quelqite nature qn'elles soient, devront accompagner leurs demandes ^•<2.0 5? W s re n 2-^-" d'un mandat de donze francs par la poste)on regardera sans doute cette somme comme bien minimequand on rf. 7C> o5S»°°»g"Sp considirera les frais inormes de publiciti que nous faisons et le grand nombre d' employis que nous occupons, pour opircr ■^?s3 3 S-f-r 3.o-S" 3-8"7t ,,os placemens dans les nombreux itabli'ssemens avec lesquels nous sommes en rapport, te/s que notaires, avouis, avocats, oa rtj oC „4 Pi v r r 1 t,. .- 1 g g 38^S.gg3g'r_C3 agents de change, maisans de commerce, administrations du Gouvernernent, tant civiles que militaires, administrations N - o to g 3-fli 2. S 2 particuliiris, entrepreneurs et spic'ulateurs de toute nature enfin, avec toutes les personnes marquantes de la Capitale. V3 g 2 E' g Z. H'3:-3:3 <rre g q La cupiditi n'est pas notre mobile, car toutes les personnes qui ne pourraicnt subvenir aux frais nicessaires pout- rue les affaires, dont elles nous chargeraientnous leur en faisons les avances, nous affranchissons mime de toute imission de fonds celles qui nous prouveraient par un certificat nh'elles sont dans Fimpossibiliti de faire aucutts sacrifices. Toutes demandes adressies A notre administration ayant pour but de demandcr des employis, sont recues sans frais. Mrs. les chefs d'itablissemens, Mrs, les maitres de maisons n'ont qit'A nous adresscr leurs demandes par icrit, nous nous empresserons d'y ripondre et de leur adresser les sujets qu'ils nous demandcraient, en traitant par correspondance. 1 L-~ Les sacrifices inormes que nous faisons et les succis brillants que nous avons dijA obtenussont garants de la bonne fotqui ftriside 11 toutes nos opirations.— Les Phylantropes, les chefs d'itablissemens, en un mot, toutes les personnes qui ont le disir d'itre utiles A leurs semblables et qui emploient des sujets, comprendrovt facilement le but et Futiliti de notre entrepriseet le service immense qu'ils rendront A la Sbciitien nous honor ant de leur confiance et en s 'adressant A nousde prifirence A tous autres itablissemens de ce genre. "SS'SjS ciif -2 8" 2 Plusieurs emplois de 1200 a 4000 fr. par an, te/s que de caissier, sicritairegiratitdirect eur, inspecteur, agent, 5 3 b M S 3 g;»* zr."^ g M 8 teneur de livressurveillant, pricepteurprofesseurs etc., et plusieurs autres emplois de 600 A 1500 fr., tcls que de Dames 5| a.s 'o S coniPafn'c, de confiance, Demoiselles de comptoir, de magasin. On demande un Associd, pour une bonne entreprise $c.o 3 2 trig o?re s 8^ enpleine activiti, binifice 8000/h parprix d'association, pour devenir propriitaire dc la moitii de I'fitablissement, 10, ooofr. ^8 y o3 8 Z 8 So 8 ro Les lettres doivent itre rigoureusement affranchies. S'adresser ou icrire A Mr. Thdodore, agent d'affaires, ^s3 C 5T- 2°3»|nw St. Honors48, a Paris. 3trq S.o 3 ^'3 8 8 J. Une des premiires maisons de Paris disire itablir dans cette ville ou aux environs une personrtehonorable; on g_ Q d O 3 3'^ 3 5- 8 3 n'exige que de bons renseignemens, sans cautionnement ni prise d'actions, gestion facile et tris lucrative.On admettra sS^8.S,"^'on' igalement pour la memo maison un Commis-Voyageurs'il est capable il pourrait gagner 2000 fr. fixe, et 10 fr. par So< g-cro' n3 3 2 52"10 t? jour pour les frais de voyage. V UNITED KINGDOM. ",D.3-8ro§w2b-8 Z">°^ 1 E V E N S H E R Z E Ii F R I N G - M A A T S C H A P P IJ, fj re— a g/'ZtoSn - fejS h3 S gevestigd te Louden gewettigd bij Parlements-Acte gewaarborgd door een kapitaal van EEN MILLIOEN dTO g-'re g 3 £0 3 5 g- PONDEN STERLING, en bestunrd door eenige der aanzienlijkste Personen des Britschen Rijks. Bij deze g* g S g_ a.g H g 8 w Maatschappij z-ijn niet alleen Levensyerzekeringen van onderscheiden aard en op aannemelijke voonvaarden te slniten, g-re jug™ "iaar °ok verscbaft dezelve gelegenlieid 0111door eene geringe vermeerdering der Premie, in hare overvvinsten te ^■g,^;S-Nc8 3 [S:>|-°'~33 3 deelen welke alsnu eene Uitdeeling van 2 pCt. toelaten, zoo als dat blljkt nit de in het Nederdnitsch vertaalde "crqb 3:ow ii.i 2"" Prospectussen, welke, benevens alie verlangd vvordende inlichtingen, te bekomen ziin by de Agenten .7. H. TURING, ro S 3 bn'5 as is O33 Britscb Vice-Consul te Rotterdam, en P. J. P.SE ROCQUETTE en ZOON, Prinsengracbt, over de Westerinarkt, S 1 -.3 13 gwS o 545. te Amsterdam. v S C H O 0 L B E R I G T. S" ="n> 3 ^§"3 Goede plantsing voor eemge LEERLINGEN, om ondcrrigi ce geniecen in alle Vakken van het Lager-Onderwijs. 3 3 2. re t-1 5' 8 00b3 u en Het ruim luchtig en welgeordend Schoollocaai is voorzieti van alie hiiipmiddeien welke knnnen dienen om bee o18*3 S re o- 2 re Onderwijs nuttig, aangenaam en doelmatig te docn zijn. Ook veriangt men eenen HULP-ONDERWl]ZER van h,rere2332-jj- g"re 3w eenigen rang, benevens twee KWEEKELINGEN tyr Oplciding voor Onderwijzers. ^tlgVSiwSI.1 Rotterdam den 27 November 1841. S T E P H.» OLDENBURG. roS^Srerogs^-n.^. t RotteWl)k Q, n.' 136. ^N^gwSg3^ v Z I N K INSOORTEN. o 3 8 re< ^C. Ondergeteekende heeft de cer zijnen Scad- en Landgenoocen te berinnercn dat bij weder eene aanzienlijke 3 3- 8"§ 2 O S T f -.2.0W Partij ZINK, van 36 tot 18 duim breed en in verschillende Nummers, van de beste qnaliteit, ontvangen heeft, en s S 3 3 -20§3 °-a »8°2 daardoor in de gelegenheid gesteld is tot de civielsce Prijzen te kunnen leveren. IT i j is verder ook geassorteerd in s,» 5* 3" BLIKLANTARENHORENSIJZERWAREN enz. Brieven franco. r r npuniviiiiUMPn 53 3 o£o*>a.g-3 3 1 S-2 S* Rotterdam den 29 November 184!. L. G. UFFENHEIMER. 3 (3 'f-fjl 8 crw o 2_ gpo 8^ Cette Librairie vient de recevoir une belle collection d'ANNUAIRES et KEEPSAKES pour la nouvelle anriie, Mro"-* >i3l^re'=:'/>a ainsi qu' un grand assortment tout nouveau de Livres pour F Educationqui se distinguent par les belles gravures et "'303>3S I5">3 2.3, par les couvertures iligantes dont lis sont ornts. §3" o* Kre E"» sus^'{ Libraire se recommatide dans la bienveillance du Public, le priant de visiter son Magasin, ou les gouts m8Pz;hn<S - 2 M sr les plus difficiles pourront itre satisfaits. TO£reg h^8- Scg KINDER PB F.NTF.BOF ordinair Wit, Geglaceerd Geperst en met Gond gewerkt, fraaije PORTEFEUILLESGeperst en met Stalen re" 3ri3" Knipjes, en net gelionden R. K. 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Gemeentearchief Schiedam - Krantenkijker

Rotterdamse Courant | 1841 | | pagina 4