ls3S"E?rsSg<xS1fSS anA V ZINC If 'SDORTEN, H r+ >1 ft O o s I'd W 3. n> 3 3 3 S-? q MOLENMEESTER en KROOSHEEMRADEN vnn den BOVENPOLDER SCHIEVEENonder de gemeente van Overschie, zijn voornemens op Maartdag den 13 December 1841, des voormiddags ten to uie, in ai Vergulde Valkaldaar, in het openbaar aan te besceden 0 net Viifiarig ONDERIIOUD van al do WERKENtot denzelven Polder behoorende. g o-5.Mro w; 2_o Het Viifiarig ONDERIIOUD en LEVERANTIE van bet ZEIL- en 10UWVVERR, tot do beide MolenS 3 O 4 W 11 i g o 3 n g o\§ Jqj; Ailes volgens Bestekken en Conditien, welke acht dagcn te voreti, in de Verguide Valk voormeld, ter visie zullen SS^§* re gg liggen; terwijl des Vrijdags v66r de Besteding-, des morgens ten 10 ure, aanwijzing in loco zal gedaan worden aan 2 s're ^'3'? 5-3-1 ZcS den Achtkanten Molen. m -T1 ta k- n g 2 s 52 V z l K 1 n '5 u u a 1 t ni •§§gS.2-SSs3qr2 De Ondergeteekende heeft de eer zijnen Stad- en Landgenooten te herinneren dat hij weder eene aanzieniijke k S" S-ro 2 t*>* Partii ZINK, van 36 tot 18 dnim breed en in verschillende Nummersvan de beste quahteit, ontvangen heeft, en n> u u a" W&,S jj."* o daardoor in de gelegenheid gesteld is tot de civielste Prijzen te kunnen levereih Hi] is verder 00k geassorteerd in ~2'§ 3 o*Z- a'® BLIK LANTARENHORENS 1JZERWAREN enz. Brieven franco. L> g> UFFENHEIMER. |nS.|"Op°' |T_ b, r- S g> Rotterdam den 29 November 1841 3'S AVIS IMPORTANT, S AUX PERSONNES SANS EMPLGIQUI ONT L'AMOUR DU TRAVAIL, ET AUX CHEFS D'ltTABLISSEMENS. o3 re E 0 re" Sw §*(5 3 3 o. NOUS RECOMMANDOB5 A NOS A B 0 N N S LA MAISON THEODORE. nt g 5 >^Tr3 s Vaneienne Maison THEODORE itablie rue St. Honorl, 48, i Paris, continue toujourS de s'occuperavecsuccjset g tw 3 S- H g S> re a. 2. o re loyauti des rentes -et achats de propriitisfonds de commerce, litres clientelles, prets d argent, rentes de merchandises, tr 1 b k r 8 1" 1 3 3 on procure des actionnaires pour tous pays, on se charge des crlances diffictles sur Parts et de donner toute eiPiceJff ojre a I life's renseignemens pour Parisla France, Pforanger et mime les Colonies, et Igalement du placement dans -tous les pays, <S «-» - 5 b T re C- des personnel des deux sixes et de toutes les conditions. "re_o^.S- 0 re S ..r Eg p'ari, centre de Funivers, source inlpuisable de ressources, berceau des sciences et des arts, capita e du monde cmIt si, K S 3 S Paris enfince paradis terrestre, ou viemient fengloUtir tant de fortunes si bien fondles et d autres s Clever scandaleusement 5? re B 3-3 par la cupiditlavec tme faciliti et une prosplritl ttonnantes, V avail pas encore dans son sein tin Itablissement puriment 2 S' re' 3 S 3 3 3 I ?oo phylantropiquefondl pour Pavenir de la jeunesse et de la classe si nombreuse des employls. C est done pour remp ir s S re. 2 t 'cette lacune, que Mr. Theodore a fondl un Itablissement, ayant pour hut d iviter les leuetis qui menacent la jeunesse, 3 S*ni 5 r et de prhenir les malhiurs qtti accqblent si souvenir les jeunes gens sans explriencequi quittent leers parens et leurs re- o- xr re - - J •- - foyers sans rlftexionsans b»t determinepour aller chercher fortune dans un pays qu lis ne connatssent pas, et qui, apris avoir ipuisl leUrs deiVieres resources, se trouvent rlduits d la plus afreuse mislre et poussls au alsespotr. Le suicide vient souvent terminer Hire tarrilreheureuse encorequand elle Vest pas flltrie par te deshonneut Remldier a tant de maux est noire unique but, Pobjet de tous nos vceuxItant secondls comme nous le sommes par 03-." a 8-g-a gs, toutes les personneS recommandabkt, nous sommes certains d'un sucds couronni, nous procurons aux jeunes gens sages et o c laborieux un avenir heureux iet honnhedans un etnpiai lucratifsans qu tl sott necessatYe qu lis se dcrang 1 S Hi "2 ref:fot=re aUTZSlmniZTdedeiJ riligiolbt,Ts'autoritis municipalesles pi res de famille surtout, sentiront toute V importance et 3 i!>i§ 3 toute Putilitl d'un tel itablissementfondl sur des bases aussi louables et aussi considerables. Nous esplrons qu lis nous 5.SI 2 g"® S S S SeC°Laeplttpart deTempMs^onsi'derablcs exigc un cautionnement que beattcoup de personnes ne peuvent fourmr, ce qui 0<,=-S3ooKir',-2 5" lew fait souvent manqUer de bonnes occasions. U administration a applani cet obstacle. De riches capitalists, intiressis ScnS^S' re it b dans notre itablissement, fmrnismt aux jeunes gens qui justified dune bonne mor&littpat un ceitifcat, 3 "<n 2 J 3.^«* og cautionnemens nlcessaires, an taux ordinaire du commerce. re" ff. 5 3 32 re o Zre g ^Nore §-a. S&,D.S50,o j O 3* sob' jli-38 Les jeunes gens, mare3' - <o-n>" nous leur faisons une "CfQ ro a' J S: q 33 ri )3 a, v» kj3 3- p >- k, d: <5 C 3 O. m ft q n. 3^ - g"ocre« §-g g.Nre^S^ 307< 3 n m utiotwemens nlcessaires, au taux ordinaire au commerce. „rr Les personnes qui ne seraient pas rest les un an dans Femploi qiFon leurawait procure,pour des motifs independents la morality ou de$ capaci/^s% sevont plactes de no'ttveau aux pais de Vadministration, Les jeunes gens, que nous avons HI assez heureux pour placer avantageusement, devtennent eux-mimes nos agents, ro3n>_ 5. g nous leur faisons une remise proportionnle il F importance des emplois qu'ils mettent a notre disposition. 1 ar ce moyen wre -pgE tkS re O - g J" Us employes sent mutuellement intlressis au placement les uns des autres. 8 5?!. S 5-2 3 re Les relations It endues .que le chef de cet Itablissement s'est acquises en France e d Flit ranger, le mettent am m 2-^2,^.1 g.>03^o- J;o 3 d'entreprendre toutes espkes d'affaires, et de se rendre de plus en plus digne de la confiance de ses nombreux cf'e"'s- re re re- -ix re mreQVr, 0 avocat, digne de confiance par son talent et ses mirites, attache it 1'administration, est chargl des affaires contentieuses, 'i exigent le concours de Fhomme de loi. Les capitauxinormes dont nouspotivons disposer, nous mettent a mime d entt e- b u, ,t„, t,;, ;„c rb/im-enips affaires, eehes mime out extsent le plus detrats. re'-S" vV-f* 3 2 h S 2 <0 S5P^H 're J 8- - •O OV- 1ui m o f® •3 3- 2 S Ov-L rr - g- n -JrC: aui exigent le concours de I Homme de lot. Les capitauxenoi mes uvni nuu> go? 1 Ct oq Ox prendre, it nos risques et plri/stoutes les plus Ipineuses, les plus chanceuses affaires, cclies mime qui exigent le plus defrms, S re S P Si-AP-Sxre re Un agent capable attache it Fadministration est toujourpret it parttr de suite pour I Eti anger, les Colonies, FAmirique mime, chargl d'affaires, dont importance s'ltcnd dans tons les pays. Thdodnre Les personnes, qui nous honoreront de lew confiance par des demaudes d emplois, bat I entiemtse de Mr-J ainsi que celles qui nous chargeront d'affaires, de quelque nature qu elles sofenl, devront accompagner leurs demandes d'un mandat de donze francs (par la poslejon regardera sans doute cette somme comme bten mintmequand on considirera les frith Inormes de public:'tl que nous faisons et le grand noinbre d employls que nous otxupons, pour oplrer nos placemcns dans' les nombreux itablissemens avec lesquels nous sommes en rapport, tels que notaues, avouls, avocats agents de change, marsons de commerce, administrations duCouVernement, tant civ ties que mihtahes,administrations particulieres, entrepreneurs et splculatews de toute natureenfin, avec toutes les personnes ma:quantes de la Capitate, La cupiditl n'est pas notre mobile, car toutes les personnes qui ne pourraient siibvemr aux frais nlcessaires pour a wtiS-a ies affaires, dont elles nous chargeraientnous leur en faisons les avancesnous affranchtssons mime de toute emission mo "°5'3 b g g 0 de f0tids celles qui nous prouveraient par un certificat qu'elles sont dans Vimpossibihti de fatre autuns sacrifices, re - Toutes demandes adressles a notre administration ayant pour but de demander des employls, sont refues sans frail. re re a o - o S-MTO Mrs. les chefs d'Itablissemens, Mrs. les maitres de maisons n'ont qu'd nous adrtsser leurs demandes par lent, nous *"Sv!. - i s 2 nous empresserons d'y rlpondre et de leur adresser les sujets qu'ils nous demanderaienten traitmt pat cor:espoddance 3.1 S I 1 w S Les sacrifices inormes"que nous faisons et les succh brillants que nous avons dijh obtenus, son S^tsde la bonne fo N /o/, qui prlside a toutes nos opt rat ions. Les Phylantrofi.es, les chefs d Itablissemens, en un mot, tout-cs les pe So e ft 1 g S M qui ont le dtsir d' I tre utiles h lews semblables ct qui emploient des sujets, comprendront fact lenient le but et I Utilttl 3 de notre entreprise, et le service immense qu'ils rendront a la Sociltlen noUS honor ant de kw confiance et en tig" k? re§o.re'M^b^ s'adressant d nous, de prlflrenCe d tous autres Itablissemens de ce genre. re S12 S Z m" Plusieurs emplois.de 1200 d 4000 fr. par an, tels que de caissier, slcrltaire, .^'fiut, directeur, inspect eUr, agent, 5 pare g®«8 teneur de livres, surveillantprtcepteur, professcurs etc., et plusieurs autres emplois de 600a 1500 fr., tels que de Dames I. re <5 o| de compagnie, de confiance, Demoiselles de comptoir, de magasin. On demande un Associj pour une hotine ent™t" a 3 r§ re re Sw S 2 enpleine activitl, blnlfice looofr. parprix d'association,pour devenir proprittaire de la motlil de I fJablissement, 10,^oQfr. c-S 2m S"" re re re o-oq'^*» Les lettres doivent itre rigoureusemetit affranchies. S'adresser ou tcrire h Mr. Iheodore agent 1, afft.te •§aSSfq St. Honort, 48, d PdHs. 5=g'S-><! - rV S-2 3 2>r Une des premises' maisons de Paris dlsire Itablir dans cette ville ou aux environs une petsonne honotable, on 3 s" S n o. WexigeqUe de bom remeignemens* sans cautionnement ni prise d'actions, gestion facile et trls lucrative. n a me ^£.2 >ra Igalement pour la mime maison un Commis-Voyagetir; s'il est capable il poUrrait gagner 2000 fr. fixe, et 10 fr. pat f w o w w 5 2 g b jour pour les frais de voyage. 1"*-o g 3 Bij J. OOMKENS, te Gronlngen, is gedrukt, bij SCHALEKAMP, VAN DE GRAMPEL en BARKER, te ^grggreSr Amsterdam, en alom te bekomen: ,f, I. NATUURLIJKE HISTORIE der ZOOGDIEREN, met meer dan 250 fraai gekleurde Afbeeldingen, ^Rregirereh op?. p!aten jn ,Q Afleveringen, met Titel -en Alphabetische Naamhjstcomplect, m gr. 4 a i_, 50. OnSgoS-,%0 II DE NAGEDACHTENIS VAN V. STRATINGH Ez., gevierd in het Genootschap: Ter bev ordering 3 3 53 der Natuurkundige IVetenschappen te Groningen, den 3 Maart 1841- Behelzendeeene verzamelnig C>2 m^ ^re" S^Sre^ van Stukken, ter ziiner nagedachtenis vervaardigd, door Prof. Tn. van Swinderen Iiof. P. ©3 O-o fiffgajng Jw Hofstede me Groot, Stnd. B. Verver, Mr. A. ModderMan, Prof. B. H. Lulofs en I rof. ^re 2.2- <-• II. C. van Hall, en Bijiagen in gr. 8°, in Carton met het Portreta - 00. >,0 I ^3 0S0 g Het Portret afzonderlijka 5 23 ^''o.S3^^2 III.' Mr. B. H. LULOFS, KAROGRAPHIE, of Opstellen met deze en gene Fel'en, in Taal en Stijl, n jo S o benevens eeni^e Taalkundige Aanteekeningen (ten gebruike bij Akademische en sooitgeijce I's Hre o|23.3-^g-^° Lessen), in gr. 8®, 2' 00* Oo«3 3 2 g^M IV. Prof. H. C. VAN NALL, REDEVOERINGEN, ten vervolge op Prof. UilReNs, Over de re Volmaaktheden van den Schepper enz. (de Geologic en Delft ofkundej5de en laarste Deel met °3 S-Q."3 S re Q hec At.GEMEEN Register over het gelieele Werk, waarmede die Werk compleet is, in gr 8 a - 3, 00. S OS 3.5:" re g 3 3 01 v Dr< T H REnDING[US GZi i HET BELANG DER KERR, voor Evangelische Chnstenen, S.S. W< l3re^|g-g*:i3§ Zielkundig aangewezen naar het Iloogdnitsch), gr. 8°, a 2' °0, S-5 VI.-LEIDRAAD VOOR ARMBESTUREN, inzonderheid voor Shs - 1 3 O :r§.=-.2§ ha DIAKENEN, tot aanwijzing van het gebruik der Wetten en Besiuiten, betrekkelijk het Arm- K1- g- S->2iI,,rPS' 13 wezen. Tweede met vele Besiuiten vermeerderdc drukin gr. 8°, a* 9°* g bs 3 gg.VII. Dr. EDUARD SELBERG, Over den verledenen en tegenwoordigen toestand van JAVA,naar g" o. Nederlandsche en Engelsche bronnen, volgens eigen beschouwing bewerkt; vertaalcI en met Aan- 3 g re re s re m merkingen en Aanhangsel voorzien, door den Maioor W. L. de Sturler, in gr. 8 a - I, 50. g.1- n.S="g^2 VIII. H. MiiLLER, DE ERVAREN PAARDENDOCTOR, voor den Burger en Landman, of Hand- b s, 5' 3.3 boek over de in- en tiitwendige Ziekten der Paardeng.,' Ar,,: 0" V rl ^■""g-rere- g IX. IJ.HEMKES Kz., Op/ossingen van het Eerste Deel van het ALGEBRAISCH RE KEN BOEK in 4 a - I, 50. Is ir X. BEKNOPTE SCHETS van den LANDBOUW, in min vruchthare Streken. Een Leesboek voor §2 S Tongelieden en Kinderen ten platten Lande, door J. H. van Wolda, Institutes aan het Gesticht llg^rec^o 'van Onvoeding voor den Landbotiw der Maatschappii van Weldadigheid te Waterentweede druk a - o, 20. S 5 Ook is verzonden het Tijdschrift WAARHEID IN LIEFDE 1841, N.« 4 iaarSang »84i a/8, en zijn re re. re nog enkele compleete Exemplaren van 18371841 a f 40 voorhanden. 0, £3 «X» Tc ROTTERDA M, bjj JAN ARRENBERG Co.

Gemeentearchief Schiedam - Krantenkijker

Rotterdamse Courant | 1841 | | pagina 4